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 arbre généalogique des
Forgerons

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 arbre généalogique des
Boulangers

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Johann Michael Obrecht

forgeron (né 1792)





signatures Obrecht en 1797 de:

Philipp forgeron (né 1744)
Michael le Vieux paysan (né 1734)
Matthias forgeron (né 1738)





Mathias Obrecht
maçon (né 1827)





Les Obrecht / Les Hild / Les Schmitt / Les Obrecht-Schmitt

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Le robuste tronc des forgerons

    Le fils de Johann Jacob, Andreas Obrecht, qui inaugure la dynastie des forgerons, est né le 17 juin 1696 comme quatrième d'une fratrie de 8 enfants. Quand il décède à plus de 82 ans en 1778, il a engendré 20 enfants en deux mariages.  Il est d'abord simplement désigné comme maréchal-ferrant (Hufschmid) à Andolsheim avant d'accéder, en tant que "Maître Andreas Obrecht", au statut plus noble d'armurier (Waffenschmid) à Horbourg, le village voisin, plus important et plus proche de Colmar. Il mariera d'ailleurs une de ses filles à un maître meunier de Colmar. Le métier de la forge sera encore exercé, tant à Andolsheim qu'à Horbourg, par des  membres de la famille durant plusieurs générations jusqu'à la fin du XIXe siècle. Notre ancêtre Philipp Obrecht naît le 15 mars 1744 comme quatrième enfant de la seconde épouse d'Andreas, Anna Catharina Röss

     Philipp hérite du métier de forgeron comme au moins trois de ses frères. Selon ce qui a dû être un partage familial il exercera son art à Andolsheim alors que la forge de Horbourg échoit à un de ses demi-frères, Johann Jacob. Il épouse le 5 novembre 1771 Susanna Ehrlacher, de Sundhoffen, et décède le 9 juin 1818 en son domicile d'Andolsheim, cadastré sous le numéro 142. De ses 8 enfants trois meurent en bas âge; les deux fils survivants Nicolaus et Johann Michael reprennent la forge familiale. Nicolaus verra sa fille Anne Marie accoucher en son domicile d'un enfant illégitime, événement rare qui a dû causer un certain scandale.

    Notre filiation se poursuit par Johann Michael Obrecht, né le 16 octobre 1792, qui devient simplement Michel dans l'état civil francisé. Comme son père il épouse une fille de Sundhoffen, Marie Salomé Mosser, le 11 novembre 1821. Celle-ci meurt relativement jeune, à 43 ans, au domicile familial, dans la maison numérotée 186. De ses huit enfants deux meurent avant l'âge de deux ans. Quant à Johann Michael il décède le 1er janvier 1865.

    Avec la génération suivante, celle des enfants des frères Nicolaus et Johann Michael, se produit une diversification professionnelle. Alors que la lignée de Nicolaus perpétue encore sur deux générations - jusqu'à la fin du XIXe siècle - la tradition de la forge à Andolsheim et Jebsheim, les enfants de Johann Michael, notre ancêtre, se partagent entre divers métiers. Un seul de ses fils sera encore forgeron et épousera lui aussi une fille de Sundhoffen. Par Mathias Obrecht (1827-1911), qui sera maçon, et son fils Jean Obrecht (1860-1941), instituteur, la filiation aboutit à Johanna Obrecht-Schmitt (1884-1967), la mère de Jeanne Schmitt, la future épouse de Jean Krebs (cf: arbre des "Forgerons").

    Sur cette branche maîtresse viennent se greffer divers rameaux, issus eux aussi de familles d'artisans. Lorsqu'en novembre 1883 Jean Obrecht épouse Salomé Hild (1856-1925) il s'allie à une autre famille amplement présente à Andolsheim. Les Hild, d'abord attestés à Horbourg avec un Mathias, né en 1583, ont fait souche à Andolsheim. où ils ont exercé le métier de tonnelier sur au moins six générations avant de se diversifier eux aussi professionnellement au milieu du XIXe siècle. Les familles Hild et Obrecht se sont maintes fois alliées au cours des temps comme par exemple cet Andreas Hild (1804), tonnelier, qui épouse une sage-feme, Anna Maria Obrecht (1799) (cf. arbre des "Tonneliers").

    En décembre de cette même année 1883 le frère de Salomé, André Hild, aubergiste, épouse une ... Marie Madeleine Obrecht, la fille d'un boulanger. Par cet autre mariage Obrecht-Hild ce sont deux lignées Obrecht qui font leur jonction par l'intermédiaire du frère et de la soeur Hild après s'être séparées pendant deux siècles. En effet, Andreas Obrecht  (1696), le premier forgeron, avait un frère Johannes (1700) dont la descendance par Matthias (1743), Andreas (1779), porté disparu dans les guerres napoléoniennes, engendre une dynastie d'épiciers-boulangers avec Sigismond (1806), premier du nom. Marie Madeleine Obrecht, sa petite-fille, en devenant la belle-soeur de Jean Obrecht, fait se rencontrer en cette fin du XIXe siècle les rameaux séparés depuis le début du XVIIIe (cf. arbre des "Boulangers").

    Enfin signalons encore les Marschalk, une autre "tribu" d'Andolsheim qui, à partir d'Andreas Marschalk, né en 1770, se spécialise dans le tissage du lin. Les Marschalk entrent dans la parenté au sens large quand Mathias Obrecht, le maçon de notre généalogie, épouse une Anne Marie Marschalk (1829-1899). Par ailleurs les Marschalk se conjuguent aussi de leur côté à la famille Hild (cf.arbre des "Tisserands").

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